Country Petit Ă  petit les vacances se terminent pour Western dance Foulayronnes, prĂ©sidĂ©e par Corinne Perobe. MalgrĂ© tout, il reste encore quelques semaines, avant la reprise des cours 12Maison d'arrĂȘt se situent aux alentours de Fresnes : Maison d'arrĂȘt Amiens 80000. 85 avenue de la DĂ©fense Passive BP 3005. 80030 AMIENS CEDEX 1. 86,18 km de Fresnes. 03 22 66 65 65. Maison d'arrĂȘt Valenciennes 59300. 75 rue Lomprez BP 455. 59322 VALENCIENNES CEDEX. Rapportde visite Maison d’a ĂȘt des femmes ent e pĂ©nitentiai e de Fesnes (Val-de-Marne) SYNTHESE i 11 au 15 septembre 2017 – 1Ăšre visite Page 2: /84 SYNTHESE Du 11 au 15 septembe 2017, une Ă©uipe de six cont ĂŽleus accompagnĂ©s d’une stagiaie venue de Roumanie ont visitĂ© le uatie maison d’aĂȘt des femmes du cente pĂ©nitentiaie de Fesnes (Val-de-Mane). Au MaisonĂ  vendre 135mÂČ 7 piĂšces. FRESNES (94260) Voir l'annonce. Site web. FRESNES-centre ville, sur une parcelle de terrain de 440mÂČ, maison d'habitation de 7 piĂšces principales comprenant: en rez de jardin, un double sĂ©jour de 25mÂČ, une cuisine amĂ©nagĂ©e, 2 chambres, une salle d'eau, un wc, un atelier, une buanderie et un garage; au permisde visite. Mon engagement consiste avant tout Ă  ĂȘtre Ă  leur Ă©coute : celles qu'il faut aider pour les formalitĂ©s administratives et juridiques, celles qui ont envie de parler, celles aussi qui veulent juste se poser en attendant le parloir ou en en revenant. Nous avons aussi une activitĂ© de vente de boissons fraĂźches et chaudes ainsi que de quelques biscuits et confiseries. Je Étatdes lieux de la maison d'arrĂȘt des hommes de Fresnes. « Une journĂ©e classique Ă  Fresnes c’est : deux repas chauds, deux promenades dans une cage et des remarques des disputes avec des surveillants qui souhaitent mettre toutes leurs frustrations et leur mal-ĂȘtre sur les dĂ©tenus. Les cris, les bruits de clĂ©s, de portes toute la Vousallez trouver ci-dessous les diffĂ©rents documents utiles pour vous simplifiez les dĂ©marches pour les parloirs : La demande de permis de visite. Inventaire de linge au format pdf : DĂ©pose du linge lors d’un parloir avec un proche. Inventaire de linge pour les dĂ©tenus arrivants : DĂ©pose du linge pour une personne arrivante. 1 seul Pourobtenir le droit de voir une personne en prison vous devez possĂ©der un permis de visite. Celui-ci est nominatif et strictement personnel, ainsi il est nĂ©cessaire que chaque personne (mĂȘme mineur) en possĂšdent un. Les personnes en dĂ©tention ont droit Ă  un nombre limitĂ© de visites par semaine, ils seront donc dĂ©livrĂ©s en prioritĂ© Mediapart Le 26 juillet, l’ancien braqueur David Desclos et le rappeur-comĂ©dien Stomy Bugsy ont jouĂ© « Un jour j’irai Ă  DĂ©troit » devant 90 dĂ©tenus, Ă  la maison d’arrĂȘt des hommes de Fresnes . Une piĂšce mise au service d’un discours optimiste sur la rĂ©insertion. Lamaison darrĂȘt de Nanterre est lune des maisons darrĂȘt les plus importantes de France en termes de capacitĂ© – 592 places thĂ©oriques – et doccupation – 1 035 personnes hĂ©bergĂ©es lors de la visite – avec un taux doccupation de 175 %, en nette hausse par rapport au prĂ©cĂ©dent 4374iVQ. Conditions de dĂ©tention Ă  la maison d’arrĂȘt de Fresnes le Conseil d’État estime suffisantes les mesures dĂ©jĂ  ordonnĂ©es par le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif> Lire la dĂ©cisionL’Essentiel ‱ La Section française de l’Observatoire international des prisons SFOIP a demandĂ© au juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif de Melun, statuant selon la procĂ©dure de rĂ©fĂ©rĂ©-libertĂ© d’enjoindre Ă  l’administration de prendre un certain nombre de mesures d’amĂ©lioration des conditions de dĂ©tention Ă  la maison d’arrĂȘt de Fresnes.‱ Par une ordonnance du 28 avril 2017, ce dernier a partiellement fait droit aux demandes dont il Ă©tait saisi. La Section française de l’Observatoire international des prisons a donc fait appel de cette ordonnance devant le Conseil d’État en tant qu’elle ne faisait pas droit Ă  l’intĂ©gralitĂ© de ses demandes.‱ Par la dĂ©cision de ce jour, le Conseil d’État rejette cet appel. Il estime qu’il n’appartient pas au juge du rĂ©fĂ©rĂ© libertĂ©, qui est un juge de l’urgence dont les mesures doivent produire des effets Ă  brĂšve Ă©chĂ©ance, d’ordonner Ă  l’administration de prendre des mesures structurelles telles que la rĂ©alisation de travaux lourds ou l’allocation aux services judiciaires et pĂ©nitentiaires de la maison d’arrĂȘt de moyens supplĂ©mentaires. Il estime Ă©galement qu’il convient d’apprĂ©cier l’existence d’une atteinte grave et manifestement illĂ©gale Ă  une libertĂ© fondamentale justifiant le prononcĂ© de mesures de sauvegarde au regard‱ des moyens de l’administration et des mesures dĂ©jĂ  faits et la procĂ©dure La Section française de l’Observatoire international des prisons SFOIP a demandĂ© au juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif de Melun, statuant selon la procĂ©dure de rĂ©fĂ©rĂ©-libertĂ© art. L. 521-2 du code de justice administrative, d’enjoindre Ă  l’administration de prendre un certain nombre de mesures d’amĂ©lioration des conditions de dĂ©tention Ă  la maison d’arrĂȘt de une ordonnance du 28 avril 2017, ce dernier a ordonnĂ© diverses mesures tendant notamment Ă  l’amĂ©lioration de l’entretien et de la propretĂ© de la maison d’arrĂȘt, mais n’a pas fait droit Ă  l’intĂ©gralitĂ© des demandes dont il Ă©tait saisi. C’est donc dans cette seule mesure, sans remettre en cause les mesures dĂ©jĂ  ordonnĂ©es par le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif, que la Section française de l’Observatoire international des prisons a fait appel de cette ordonnance devant le Conseil d’ dĂ©cision du Conseil d’État Par la dĂ©cision de ce jour, le Conseil d’État rejette cet commence par rappeler les dispositions de l’article 22 de la loi pĂ©nitentiaire du 24 novembre 2009, qui garantit Ă  toute personne dĂ©tenue le respect de sa dignitĂ© et de ses droits, ainsi que les obligations qui pĂšsent Ă  ce titre sur l’administration. Lorsque la carence de l’autoritĂ© publique crĂ©e un danger caractĂ©risĂ© et imminent pour la vie des personnes ou les expose Ă  ĂȘtre soumises Ă  des traitements inhumains et dĂ©gradants, portant atteinte de maniĂšre grave et immĂ©diate Ă  leurs libertĂ©s fondamentales, il rappelle que le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s peut prendre des mesures de sauvegarde, dans un dĂ©lai de quarante-huit heures, afin de faire cesser cette mesures doivent en principe prĂ©senter un caractĂšre provisoire, sauf lorsqu’aucune mesure de cette nature n’est susceptible de sauvegarder l’exercice effectif de la libertĂ© fondamentale Ă  laquelle il est portĂ© atteinte. Le juge du rĂ©fĂ©rĂ© libertĂ© peut Ă©galement dĂ©cider de dĂ©terminer Ă  brĂšve Ă©chĂ©ance, dans une dĂ©cision ultĂ©rieure, les mesures complĂ©mentaires qui s’imposent et peuvent ĂȘtre trĂšs rapidement mises en Ɠuvre. Dans tous les cas, l’intervention du juge du rĂ©fĂ©rĂ© libertĂ© est subordonnĂ©e au constat que la situation en litige lui permette de prendre utilement et Ă  trĂšs bref dĂ©lai les mesures de sauvegarde nĂ©cessaires. Le Conseil d’État estime que les demandes de la SFOIP tendant Ă  ce qu’il soit enjoint au ministre de la justice de prescrire la rĂ©alisation de travaux lourds au sein de la maison d’arrĂȘt de Fresnes, d’allouer des moyens supplĂ©mentaires aux services judiciaires et pĂ©nitentiaires afin de dĂ©velopper l’offre d’activitĂ©s proposĂ©es aux dĂ©tenus, ou encore de prendre une circulaire de politique pĂ©nale, ne remplissent pas ces conditions il s’agit en effet de mesures d’ordre structurel, insusceptibles d’ĂȘtre mises en Ɠuvre et d’avoir des effets Ă  bref dĂ©lai. Elles ne peuvent donc pas ĂȘtre ordonnĂ©es en rĂ©fĂ©rĂ© des conditions de dĂ©tention en cellule, le Conseil d’État relĂšve l’existence d’un taux d’occupation de plus de 200 %, impliquant des encellulements Ă  trois, la prĂ©sence de nuisibles, ainsi que le manque de luminositĂ© et l’humiditĂ© des cellules. Il estime que ces conditions de dĂ©tention sont de nature Ă  porter atteinte Ă  la vie privĂ©e des dĂ©tenus et de les exposer Ă  des traitements inhumains et il juge que l’existence d’une atteinte grave et manifestement illĂ©gale Ă  des libertĂ©s fondamentales doit s’apprĂ©cier en tenant compte des moyens de l’autoritĂ© administrative compĂ©tente et des mesures qu’elle a, le cas Ă©chĂ©ant, dĂ©jĂ  prises. Il relĂšve notamment qu’en l’espĂšce, l’administration n’a pas la maĂźtrise du nombre de mises sous Ă©crou, qui dĂ©pendent de l’autoritĂ© judiciaire, et qu’elle a dĂ©jĂ  engagĂ© des mesures de dĂ©sinsectisation et de renouvellement du mobilier. Dans ces conditions, il juge qu’aucune atteinte grave et manifestement illĂ©gale Ă  une libertĂ© fondamentale ne peut ĂȘtre la mĂȘme maniĂšre, le Conseil d’État Ă©carte, au regard des moyens dont dispose Ă  court terme le chef d’établissement et des mesures dĂ©jĂ  engagĂ©es, la demande de la SFOIP tendant Ă  ce que soient rĂ©alisĂ©s des travaux de rĂ©novation des parloirs, d’amĂ©nagement des cours de promenade et d’équipement des salles d’ procĂ©dure de rĂ©fĂ©rĂ©-libertĂ© La procĂ©dure de rĂ©fĂ©rĂ© libertĂ©, prĂ©vue par l’article L. 521-2 du code de justice administrative, permet au juge d’ordonner, dans un dĂ©lai de quarante-huit heures, toutes mesures nĂ©cessaires Ă  la sauvegarde d'une libertĂ© fondamentale Ă  laquelle une administration aurait portĂ©, dans l'exercice d'un de ses pouvoirs, une atteinte grave et manifestement illĂ©gale. Pour obtenir satisfaction, le requĂ©rant doit justifier d’une situation d’urgence qui nĂ©cessite que le juge intervienne dans les quarante-huit heures. L’Union des Jeunes Avocats intervient devant le juge du rĂ©fĂ©rĂ©-libertĂ© du Tribunal administratif de Melun aux cĂŽtĂ©s de l’Observatoire International des Prisons aux fins de faire cesser les atteintes particuliĂšrement graves portĂ©es Ă  la dignitĂ© des personnes incarcĂ©rĂ©es Ă  la Maison d’arrĂȘt de Fresnes et demander un plan d’urgence. Surpopulation, locaux insalubres et infestĂ©s de rats et de punaises de lits, cellules de 9mÂČ accueillant rĂ©guliĂšrement trois personnes, insuffisance de l’offre d’activitĂ©s et de travail, violences exacerbĂ©es
 Ces derniers mois, l’OIP, la ContrĂŽleure gĂ©nĂ©rale des lieux de privation de libertĂ© CGLPL et, tout rĂ©cemment, le ComitĂ© europĂ©en pour la prĂ©vention de la torture CPT ont, tour Ă  tour, alertĂ© sur l’indignitĂ© des conditions de dĂ©tention Ă  la maison d’arrĂȘt de Fresnes. Au mois de mars 2017, le taux d’occupation de l’établissement s’élevait Ă  193,1%, avec 2 556 personnes dĂ©tenues pour une capacitĂ© opĂ©rationnelle de 1 324 places. En 2012, le CGLPL dĂ©nonçait dĂ©jĂ  la vĂ©tustĂ© des locaux, la surpopulation, les conditions d’accueil des visiteurs aux parloirs ». À plusieurs reprises entre 2013 et 2014, Monsieur Christian Cambon, sĂ©nateur du Val-de-Marne avait alertĂ© le gouvernement sur le manque d’effectif du personnel pĂ©nitentiaire, la surpopulation et le climat de violence qui rĂ©gnait au sein de l’établissement. Le 22 dĂ©cembre 2016, il interpelait Ă  nouveau la ministre de la Justice sur l’état de dĂ©labrement de la prison. Sans rĂ©ponse Ă  ce jour. Au mĂȘme moment, la CGLPL relevait, dans des recommandations dĂ©livrĂ©es en urgence, un nombre important de dysfonctionnements graves qui permettent de considĂ©rer que les conditions de vie des personnes dĂ©tenues constituent un traitement inhumain ou dĂ©gradant au sens de l’article 3 de la Convention europĂ©enne des droits de l’homme ». Enfin, dans un rapport faisant suite Ă  une visite rĂ©alisĂ©e en novembre 2015 et publiĂ© le 7 avril dernier, le CPT confirme dans les mĂȘmes termes l’indignitĂ© des conditions de dĂ©tention Ă  Fresnes, pointant la surpopulation, les violences et mauvais traitements, l’insalubritĂ© des conditions de dĂ©tention, l’absence d’activitĂ©s et l’usage abusif des fouilles intĂ©grales. En octobre 2016, l’OIP saisissait la justice sur la prĂ©sence de rats, puces et punaises de lit dans l’établissement. Le juge, constatant que les dĂ©tenus Ă©taient exposĂ©s Ă  d’importants risques sanitaires ainsi qu’à des conditions d’incarcĂ©ration contraires Ă  la dignitĂ© humaine, demandait l’intensification de mesures de dĂ©ratisation. Dans un rapport publiĂ© en dĂ©cembre, la CGLPL constatait que les rats Ă©voluent en masse au pied des bĂątiments, dans les cours de promenade et aux abords des bĂątiments tout au long de la journĂ©e. On ne peut Ă©viter de piĂ©tiner leurs excrĂ©ments. L’odeur persistante de leur pelage, de leurs excrĂ©ments et de leurs cadavres s’ajoute Ă  celle des amas d’ordures qui jonchent le pied des bĂątiments. » Depuis cinq mois, par cinq courriers, l’OIP a demandĂ© au directeur de l’établissement de le tenir informĂ© des actions engagĂ©es pour assurer l’exĂ©cution de l’ordonnance du tribunal. Sans succĂšs. De son cĂŽtĂ©, la ContrĂŽleure gĂ©nĂ©rale, Madame Adeline Hazan, considĂ©rait en dĂ©cembre dernier que les rĂ©ponses apportĂ©es par le ministre de la Justice Ă  ses recommandations Ă©taient largement insuffisantes, vagues et convenues » et ne sauraient ĂȘtre considĂ©rĂ©es Ă  la hauteur des enjeux Ă©voquĂ©s ». L’OIP se trouve donc contraint aujourd’hui, une nouvelle fois, de saisir le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du Tribunal administratif de Melun, avec le soutien, notamment, de l’Union des jeunes avocats de Paris. Il est demandĂ© la mise en Ɠuvre d’un plan d’urgence. Et que l’administration prenne enfin des mesures concernant tant les conditions de dĂ©tention matĂ©rielles – Ă  savoir l’état des cellules, la rĂ©novation des cours de promenade, des salles d’attente, des parloirs, etc. – que le climat de violence dans lequel se trouvent les personnes dĂ©tenues, la systĂ©maticitĂ© des fouilles Ă  corps, le manque de personnel et le manque d’activitĂ©. Le mardi 23 août 2022, le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, a convié une partie de la presse nationale dans une visite guidée sur le futur quartier centre de détention QCD rattaché à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. En effet, des travaux d’envergure sont en cours depuis de longs mois pour réhabiliter ce centre de jeunes détenus en centre de détention d’une capacité de 408 places avec une livraison prévue en septembre 2023. Si le garde des sceaux a rappelé à la presse son bilan à la tête de son Ministère et souligné l’engagement des personnels dans leurs différentes missions régaliennes. Il a aussi insisté sur la dignité humaine dans nos prisons. Néanmoins, il n’a pas échappé aux questions relatives à la tourmente médiatique et polémique de l’organisation de Koh lantess » à la prison de Fresnes, le 27 juillet 2022 dont il a diligenté une enquête administrative. Le garde des sceaux a précisé que ni la DAP, ni son cabinet, ni la DICOM du secrétariat général du Ministère de la justice n’avaient connaissance des modalités précises de cet événement hors norme comme indiqué dans les conclusions du rapport remis et communiqué à la presse. À l’issue, une délégation locale Force Ouvrière Justice a été reçue par le Directeur adjoint de l’administration pénitentiaire DAPA, le Directeur Interrégional des services pénitentiaires de Paris et le chef d’établissement de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. Nous avons saisi l’opportunité pour affirmer notre position et surtout dénoncer ces images choquantes qui ont blessé tant les victimes que les personnels pénitentiaires dans son ensemble. Par ailleurs, cet échange a permis de rappeler les nombreux sujets inhérents à notre établissement pénitentiaire qui impactent les conditions de travail des personnels tous corps et grades confondus Pour information, Force Ouvrière Justice avait déjà remis un rapport détaillé portant tant sur nos revendications locales que nationales lors de la visite du premier Ministre et du garde des sceaux en date du 23 août 2021 sur la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. Ainsi, en raison d’un temps de parole limité, Force Ouvrière a souhaité rappeler et aborder les points sur la thématique du jour 1/ Ressources Humaines Le DAPA indique que l’organigramme de référence est en cours de réalisation, il est dans l’incapacité de nous communiquer l’effectif nécessaire pour faire fonctionner le quartier centre de détention QCD dans son ensemble. Sur ce point, nous avons attiré son attention sur le manque d’attractivité de notre profession et notamment sur les chiffres alarmants du dernier recrutement, près de 18 % des candidats présents. Force Ouvrière Justice s’interroge légitimement sur notre capacité de recruter sans une véritable réforme statutaire et indemnitaire. Notre organisation réclame une loi de programmation budgétaire pour allouer des moyens à la Justice à la hauteur des objectifs à atteindre à l’instar du Beauvau de la sécurité. 2/ sécurisation du domaine Depuis de nombreuses années Force Ouvrière Justice Ɠuvre pour une sécurisation du domaine au regard des caractéristiques de cet établissement hors norme et de ses contraintes inhérentes. Nos interlocuteurs se veulent rassurant et misent sur les ELSP entre autres pour assurer cette mission essentielle. Force Ouvrière Justice a demandé un effectif conséquent pour assurer ses nouvelles missions dévolues dans notre établissement pénitentiaire. Le directeur Interrégional a souhaité une féminisation de ces équipes de sécurité pour prendre en compte la gestion de la MAF. Force Ouvrière Justice a rappelé la nécessité d’une rénovation de la MAF pour améliorer les conditions de vie des personnels mais aussi des personnes détenues dont nous avons la garde. Par ailleurs le bureau local Force ouvrière a attiré l’attention sur 3/ La situation du logement en île- de-France En dépit des annonces du Ministre de la Justice le jeudi 07 avril 2022 en matière de politique de logement en faveur des personnels du Ministère de la Justice. Force Ouvrière Justice reste attentive à la concrétisation de ses projets de construction sur Savigny-sur-Orge et Fleury-Mérogis. Dans l’attente, l’insuffisance est bien réelle et reste un frein dans le dispositif de fidélisation mis en Ɠuvre au sein de notre établissement pénitentiaire. 4/ Politique d’accueil et de qualité de vie Le bureau local Force Ouvrière encourage et accompagne également une politique pérenne en faveur des personnels La construction d’un quatrième foyer. L’agrandissement et la rénovation de l’unité de vie L’extension du Mess. Sécurisation et extension des parkings Installation de bornes électriques L’aménagement et la sécurisation d’une piste cyclable. Renforcement et développement des infrastructures socio-culturelles et sportives création d’un complexe sportif avec développement de partenariat, rénovation du terrain de sport, etc.. Par ailleurs chacun appréciera au regard de l’actualité les positions des uns et des autres ceux qui défendent les intérêts de la profession et des personnels. Force Ouvrière Justice une vraie présence au quotidien. Lire le communiquĂ©

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