LACRITIQUE DE LA COULEUR DE LA VICTOIRE Résumé : Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux d’été de 1936 à Berlin. LaCouleur De La Victoire est la démonstration qu’un réalisateur peu réputé pour ses élans artistiques peut s’effacer derrière son sujet, du moment qu’il est porteur. Synopsis: En 1934, alors que Jim Crow vient de faire passer ses lois ségrégationnistes, Jesse Owens arrive à l’université d’État de l’Ohio pour travailler avec les meilleurs entraîneurs de l’époque. Regardezla bande annonce du film La Couleur de la victoire (La Couleur de la victoire Bande-annonce VO). La Couleur de la victoire, un film de Stephen Hopkins Eten effet, à l’arrivée, La Couleur de la Victoire est un bon film. De ceux qui donnent envie de se lever de son fauteuil alors que vient le dénouement, lors du puissant climax, quand bien même nous connaissons déjà la conclusion. Au cinéma, le sport à ce pouvoir. De dépasser le cadre de la simple performance pour raconter autre chose. Pour prendre une ampleur inédite et toucher LaCouleur de la victoire (Race), 1 Blu-ray, 122 minutes . Synopsis. Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux d'été de 1936 à Berlin. Cependant, alors qu'Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer à ces Jeux, organisés en Allemagne Lacouleur de la victoire Un film haletant qui nous plonge dans les années 1930 au cœur des J.O. de Berlin. Jesse Owens, un jeune prodige afro-américain, va se battre pour courir et sauter dans un pays où la nazisme est omniprésent. Un film bouleversant qui met en avant les relations diplomatiques et humaines Allemagne-Etats-Unis LaCouleur de la victoire. De Stephen Hopkins. Avec Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree. Durée : 118 min. Sortie le 27 juillet 2016. Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare FilmLa couleur de la victoire. Genre : Drame Durée : 135 minutes Réalisateur : Stephen Hopkins Avec Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Shanice Banton, Carice Van Houten, Jeremy Irons, William Hurt, David Kross, Jonathan Higgins, Tony Curran, Amanda Crew, Barnaby Metschurat, Chantel Riley Nationalité : Canada Année : 2016. Résumé. 1933, Cleveland. Dans Lacouleur de la victoire. Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux d’été de 1936 à Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer à ces Jeux, organisés en LaCouleur de la victoire (Race) est un film franco-germano-canadien réalisé par Stephen Hopkins, sorti en 2016. Il revient sur le parcours de l’athlète Afro-Américain Jesse Owens qui à lui seul, a contrarié les discours PsSNra. Stephan Hopkins raconte Jesse Owens, quadruple champion olympique d’athlétisme des Jeux de Berlin 36 sous le regard d’Hitler dans ce biopic à l’affiche ce soir d’1 dose de ciné sur France Ô. Un moment d’histoire avec un H majuscule. Un biopic sur une légende Il s’appelle Jesse Owens. Né le 12 septembre 1913, cet athlète afro- américain et premier sportif noir de renommée internationale entra dans l’histoire lors des Jeux Olympiques d’été de Berlin en 1936. Lorsqu’en l’espace de quelques jours, il empocha pas moins de 4 médailles d’or – 100 mètres, 200 mètres, 4 x 100 mètres – sous le regard d’Hitler. La couleur de la victoire lui rend hommage en se concentrant sur deux épisodes de sa vie son entrée à l’Ohio University en 1934 et son exploit berlinois. En privilégiant parfois la légende à la vérité. Ainsi, malgré sa fureur de voir un athlète noir triompher, Hiltler n’a jamais refusé de serrer la main à Owens, comme on peut ici le voir. Dans ses mémoires, l’athlète a expliqué que loin de le snober, Hitler lui avait fait un signe de la main au moment où il passait devant sa loge. Un réalisateur tout terrain C’est à Stephen Hopkins qu’a échu la réalisation de cette Couleur de la victoire. Né en Jamaïque, cet Australien s’est fait connaître en 1989 avec son deuxième long métrage Freddy 5 L’enfant du cauchemar avant de construire une filmographie très éclectique entre action Blown away, science- fiction Perdus dans l’espace, polar Suspicion, le remake de Garde à vue, fantastique Les châtiments, biopic Moi, Peter Sellers et plusieurs passages par la case télé avec notamment le pilote et plusieurs épisodes de la saison 1 de 24 heures chrono. La couleur de la victoire marquait son retour sur grand écran, 9 ans après Les châtiments avec Hillary Swank. Un deuxième choix de tout premier plan Pour incarner Owens, Stephen Hopkins avait tout d’abord envisagé le britannique John Boyega, révélé quelques années plus tôt par le génial Attack the block. Mais celui- ci déclina avec un bon mot d’excuse il avait été engagé pour interpréter Finn dans Le réveil de la force, l’épisode VII de Star Wars. Et après une longue recherche autour du monde, c’est finalement le canadien Stephan James qui fut choisi pour incarner Owens, aidé en cela par les conseils éclairés des filles et petites filles de l’athlète et un solide entraînement sous la houlette d’un coach d’athlé pour s’approprier son style unique. Vu en 2014 dans Selma d’Ava DuVernay, récit d’un épisode majeur de la vie de Martin Luther King, il sera le 30 janvier l’un des héros de Si Beale Street pouvait parler, le nouveau film de Barry Jenkins, réalisateur de l’oscarisé Moonlight. Aperçu des critiques de la presse Internet sortie vod, dvd et blu-ray La Couleur de la victoire"Le récit est maîtrisé et le savoir-faire du réalisateur évident, ce qui a permis au film d'éviter un scandale lors de sa sortie aux États-Unis début 2016. Car si le long-métrage s'était révélé maladroit et avait souffert d'un scénario bancal, beaucoup en aurait profité pour hurler à l'offense, outrés qu'un artiste ose comparer la Ségrégation au nazisme. Ici, il s'agit plutôt d'une réflexion intelligente sur le racisme presqu'ordinaire et sur la manière dont la notion de race a encore une quelconque importance." Avoir Alire "La Couleur de la Victoire parle de la haine en Europe et aux Etats-Unis. D'un côté, celle instaurée par le régime nazi en Allemagne, mais aussi celle qui règne plus insidieusement aux Etats-Unis, où la ségrégation est encore bien présente. Le réalisateur n'oublie pas l'hypocrisie avec laquelle le gouvernement américain a appréhendé les de Berlin. ... Bref, un biopic intelligent sur un des plus grands athlètes de tous les temps." Elle "La Couleur de la Victoire ... ravive sous une forme romanesque une des olympiades les plus fameuses de l'histoire." Culture Box "En deux heures qui passent comme un claquement de doigts, ce biopic retrace les exploits du quadruple médaillé olympique Jesse Owens aux de Berlin de 1936. En se concentrant sur les deux années de sa vie au cours desquelles il bâti sa légende entre 19 et 21 ans, 1934-1936, Stephen Hopkins nous propulse de façon captivante dans l'atmosphère électrique de cette époque qui rend cette victoire si exceptionnelle, sur le plan sportif et politico-social. Au delà du fait de rendre enfin hommage à cet athlète incroyable, cet opus est donc particulièrement passionnant car il aborde les événements et leur impact sur plusieurs plans, tant au niveau humain qu'historique." Le Blog du Cinéma "La Couleur de la Victoire est la démonstration qu'un réalisateur peu réputé pour ses élans artistiques peut s'effacer derrière son sujet, du moment qu'il est porteur. Ce film est également la démonstration que le sport est un thème ô combien cinégénique, tant il est était ? riche de valeurs universelles, de lien étroits avec l'Histoire ici bien manipulée, on y reviendra et de tout ce qui fait un film prenant suspense, rebondissements, émotions et panache." Ciné Séries Mag "Scolaire dans sa forme, cette oeuvre soigne toutefois le fond et fait considérablement vibrer les coeurs." Lci "Le réalisateur, bon faiseur pro, se tire à peu près de la mièvrerie qu'imposent les scènes sentimentales Jesse et sa femme. Et il réussit parfaitement, en revanche, les moments spectaculaires l'arrivée du champion noir dans un stade hostile donne vraiment le frisson..." Telerama - Pierre Murat "En multipliant les points de vue, le film se perd dès les premières minutes .... En cherchant à s'intéresser autant au parcours sportif qu'aux enjeux moraux et politiques ayant entouré la compétition les États-Unis devaient-ils boycotter ou non cette édition tristement célèbre ? , le réalisateur enterre son film dans une zone de transition où aucune des thématiques n'est véritablement traitée." Abus de Ciné "Le portrait de Jesse Owens reste bien superficiel et ce récit politique bien simpliste." La Croix Synopsis usuel Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux d’été de 1936 à Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer à ces Jeux, organisés en Allemagne nazie. Le débat est vif entre le président du Comité Olympique Jeremiah Mahoney et le grand industriel Avery Brundage. Pourtant, la détermination de Jesse à se lancer dans la compétition est intacte… Alors que les Jeux Olympiques de Rio s'ouvrent le 5 août, le film de Stephen Hopkins, "La Couleur de la victoire", sur la qualification et la quadruple médaille d'or de l'Afro-américain Jesse Owens aux J. O. de Berlin en 1936, tombe à pic. Cela n'est sans doute pas un hasard. Film germano-canadien, ce biopic signé par un Américain, a tout le professionnalisme d'une réalisation hollywoodienne. Stephen Hopkins, bon routier touche à tout à la télévision comme au cinéma depuis 1987, a déjà tâté du biopic avec "Moi, Peter Sellers" 2004 sur le célèbre comédien britannique. Bon faiseur, il reste droit dans ses bottes dans le registre, bénéficiant d'un casting efficace, avec en Jesse Owens, Stephan James, jusqu'ici cantonné aux troisièmes couteaux ; Jason Sudeikis, plus habitué aux comédies, mais excellent en Larry Snyder, l'entraîneur d'Owens ; et deux guest stars de choix Jeremy Irons qui campe l'industriel ambigüe, Avery Brundage, et William Hurt, interprète du président du Comité Olympique Jeremiah Mahoney. Il faut ajouter à cette belle distribution Carice Van Houten "Game of Throne" dans la peau de la réalisatrice allemande Leni Riefenstahl, personnage clé des J. O. de 1936 et égérie de la propagande D. Wolfromm/ M. Laboiry Même si l'on en connaît l'issue - la quadruple victoire d'Owens étant un des plus hauts faits de l'histoire de l'olympisme -, "La Couleur de la victoire" parvient a passionner en distillant plusieurs suspenses. L'adhésion ou non des Etats-Unis à ces J. O. sous bannière nazie ; la présence indésirable de l'entraîneur dans le staff américain ; l'accueil d'Owens par Berlin et les autres athlètes US, le ségrégationnisme étant de mise dans l'Amérique des années 30 ; ou les compétitions elles-mêmes. L'intervention de l'athlète allemand Carl "Luz" Long David Kross en faveur d'Owens lors des qualifications pour le saut en longueur est une anecdote fameuse, "Luz" se distinguant par son opposition au nazisme, et ayant toujours gardé des liens avec l'athlète américain. Un des aspects les plus pertinents de "La Couleur de la victoire" est de creuser l'implication de Leni Riefenstahl dans ces jeux. Par son rôle d'intermédiaire entre Josef Goebbels et Avery Brundage, ses techniques de réalisation son film "Les Dieux du stade" sur Berlin 1936 s'avérant un pilier de la propagande nazie, ou son irrespect des ordres quand on lui interdit de filmer la course de relais qui vaudra sa quatrième médaille à Owens. Le personnage est toutefois un rien édulcoré par rapport à son adhésion au National socialisme. Tout comme Goebbels, incarné comme un personnage falot, par un acteur peu convaincant, Barnaby Metschurat. Le film tient par son sujet, son écriture précise, son interprétation dans les rôles principaux, et une mise en scène des plus classiques qui colle au récit. Tout ce qui concerne le ségrégationnisme américain en vigueur - au sein de la société, entre athlètes et dans ses rapprochements avec l'idéologie nazie -, sont également fort à propos. Sans mériter le haut du podium, "La Couleur de la victoire" réalise une belle course, avec sa reconstitution soignée, pour raviver sous une forme romanesque une des olympiades les plus fameuses de l'histoire. LA FICHEDrame de Stephen Hopkins Canada/Allemagne - Avec Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Jeremy Irons, Shanice Banton, Carice Van Houten, William Hurt - Durée 1h58 - Sortie 27 juillet 2016Synopsis Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux d’été de 1936 à Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer à ces Jeux, organisés en Allemagne nazie. Le débat est vif entre le président du Comité Olympique Jeremiah Mahoney et le grand industriel Avery Brundage. Pourtant, la détermination de Jesse à se lancer dans la compétition est intacte…

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