LarĂ©pĂ©tition des violences sexuelles repose sur le silence. Nombreux sont les ‘’incesteurs’’ Ă  ĂȘtre dans le dĂ©ni, « mĂ©canisme de dĂ©fense, de protection », prĂ©ci Lamour figurait au menu des collations des premiers chrĂ©tiens : les agapes (du grec agapĂ©, « amour ») Ă©taient les repas pris en commun par les adorateurs du Christ. Ce mot du vocabulaire MusiquesUrbaines. 11,930 likes · 2 talking about this. Toute l'actu hip-hop et r&b/rnb Ă  retrouver ici ! Enhommage Ă  Sadeq Jalal Al Azm, pionnier de la contestation syrienne (1) Paris – Basma Kodmani fait l’objet d’une controverse dont la vivacitĂ© tĂ©moigne de l’animositĂ© que suscite la porte-parole de l’opposition syrienne de l’extĂ©rieur et de l’ampleur du dĂ©chirement de la classe politique et intellectuelle arabe Ă  l LaNouveauMicrosoft Edge supprimera votre historique de navigation, vos cookies et vos donnĂ©es de site, ainsi que les mots de passe, les adresses et les donnĂ©es de formulaire lorsque vous fermerez toutes les fenĂȘtres InPrivate. Vous pouvez ouvrir une fenĂȘtre InPrivate de diffĂ©rentes maniĂšres : SĂ©lectionnez et maintenez le bouton droit de la souris Microsoft Edge la RaquelGarrido en 2015. Raquel Garrido, nĂ©e le 23 avril 1974 Ă  ValparaĂ­so au Chili, est une avocate, chroniqueuse et femme politique franco - chilienne 1 . Porte-parole de Jean-Luc MĂ©lenchon et de La France insoumise (LFI) pendant plus d'un an, elle en Ă©tait Ă©galement l'avocate. Elle est Ă©lue dĂ©putĂ©e le 19 juin 2022, dans la 5e Unequestion juridique. L’une des assertions du sermon sur la montagne est une falsification de la loi de MoĂŻse et doit ĂȘtre Ă©tudiĂ©e comme telle. Selon ce que Matthieu retient du sermon sur la montagne, JĂ©sus aurait en effet prononcĂ© les mots suivants : « On vous a dit : “Tu aimeras ton proche et tu haĂŻras ton ennemi”, et moi je Parentsde filles, parents de garçons.FĂȘte des bĂ©bĂ©s, La CinquiĂšme. 02.09.2000, 13mn13. A travers les tĂ©moignages de deux couples ayant chacun des enfants des deux sexes, FĂȘte des bĂ©bĂ©s analyse dans ce magazine la maniĂšre dont se mettent en place durant l’enfance, les diffĂ©rences et parfois les inĂ©galitĂ©s entre les sexes. Les interviews des parents alternent BANDESANNONCES. Les films Ă  l'affiche du 29 novembre au 5 dĂ©cembre 2017 au cinĂ©ma de Gournay . A l'approche des fĂȘtes de fin d'annĂ©e, le cinĂ©ma de Gournay vous propose pas moins de 4 avant Unefois que j’ai la rĂ©ponse, je diffuse la bonne parole, avant je ne pourrai pas prendre cette grande responsabilitĂ© sans preuve. Merci d’avance 🙂. RĂ©pondre. niyyat 12 juillet 2010 Ă  8h05. d’accord avec MuHammad. RĂ©pondre. Al-Kanz 12 juillet 2010 Ă  11h14. as-salĂąmu ‘alaykum. Firdaous, Salmane est le nom d’un valeureux compagon, Salmane al Farisi (as) sF1Ehs. Paroles de la chanson Sans toi par Leila AD [SAF] Mais pourquoi j'ai merdĂ© ? J'essaye de m'en remettre, j'suis perdu Faudrait que j'quitte la street, tu connais, tu connais [SAF & Leila AD] Dans l'mal, sans toi, je doute Donc j'compte pas la laisser Mon choix, j'l'assume mĂȘme si j'en souffre Mais j'compte pas la laisser Ça sort d'oĂč ton dĂ©lire ? J'ai comme l'impression qu'tu t'enfonces Des embrouilles, des dĂ©lits, j'ai comme l'impression qu'tu t'en fous [SAF] BĂ©bĂ© me dĂ©voile la flamme Na-na-na-na, si j't'ai causĂ© du tort, don't cry Na-na-na-na Ton regard me redonne la bonne vibe Na-na-na-na, mets-toi Ă  l'aise, j't'emmĂšne, c'est lĂ©ger Na-na-na-na Oh ma baby, j'veux pas qu'on taille ailleurs Qu'on taille ailleurs, si jamais tu pars, je die, oh-oh Faut que je rĂ©cup' la mienne sans le malaise, pardon, j'ai merdĂ© Pardon, j'ai merdĂ© [Leila AD & SAF] Mais pourquoi t'as merdĂ© ? J'essaye de m'en remettre, c'est perdu Faudrait quitter la street, tu connais, tu connais Mais pourquoi j'ai merdĂ© ? J'essaye de m'en remettre, j'suis perdu Faudrait que j'quitte la street, tu connais, tu connais [SAF & Leila AD] Dans l'mal, sans toi, je doute Donc j'compte pas la laisser Mon choix, j'l'assume mĂȘme si j'en souffre Mais j'compte pas la laisser Ça sort d'oĂč ton dĂ©lire ? J'ai comme l'impression qu'tu t'enfonces Des embrouilles, des dĂ©lits, j'ai comme l'impression qu'tu t'en fous [Leila AD] Je ne ressens que du vide, mmh, c'est ta faute si t'es plus lĂ  Tu sais, toute seule, j'vais plus vite, mmh, mais Ă  deux on va plus loin Eh Mais j'ai le cƓur qui saigne, devant du liquide, tu frissonnes Peut-ĂȘtre un jour, qui sait, t'arrĂȘteras de fuir, de faire semblant [Leila AD & SAF] Mais pourquoi t'as merdĂ© ? J'essaye de m'en remettre, c'est perdu Faudrait quitter la street, tu connais, tu connais Mais pourquoi j'ai merdĂ© ? J'essaye de m'en remettre, j'suis perdu Faudrait que j'quitte la street, tu connais, tu connais [SAF & Leila AD] Dans l'mal, sans toi, je doute Donc j'compte pas la laisser Mon choix, j'l'assume mĂȘme si j'en souffre Mais j'compte pas la laisser Ça sort d'oĂč ton dĂ©lire ? J'ai comme l'impression qu'tu t'enfonces Des embrouilles, des dĂ©lits, j'ai comme l'impression qu'tu t'en fous [ SAF & Leila AD] Dans l'mal, j'ai comme l'impression qu'tu t'en fous Mon choix, j'ai comme l'impression qu'tu t'en fous Dans l'mal, j'ai comme l'impression qu'tu t'en fous Mon choix, j'ai comme l'impression qu'tu t'en fous En hommage Ă  Sadeq Jalal Al Azm, pionnier de la contestation syrienne 1 Paris – RenĂ© Naba– Basma Kodmani fait l’objet d’une controverse dont la vivacitĂ© tĂ©moigne de l’animositĂ© que suscite la porte-parole de l’opposition syrienne de l’extĂ©rieur et de l’ampleur du dĂ©chirement de la classe politique et intellectuelle arabe Ă  l’égard du drame syrien et des enjeux que sous-tend la conquĂȘte de Damas tant au plan de la stratĂ©gie rĂ©gionale qu’au niveau de l’imaginaire collectif arabe. La mise en ligne, en fĂ©vrier 2012, d’une ancienne Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e française rĂ©alisĂ©e Ă  l’occasion du salon du livre français en 2008, dont IsraĂ«l Ă©tait l’invitĂ© d’honneur, a fait Ă©clater au grand jour la polĂ©mique, latente depuis l’installation du Conseil national transitoire syrien avec l’aide massive de la BibliothĂšque MĂ©dicis» de la chaĂźne parlementaire Public SĂ©nat», animĂ©e par le trĂšs journaliste sarkozyste Jean Pierre El Kabbache, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e avec la participation d’écrivains israĂ©liens et d’un ancien prĂ©sident du CRIF, ThĂ©o Klein, en la compagnie exclusive de l’universitaire rĂ©activation, selon toute vraisemblance, paraissait destinĂ©e Ă  discrĂ©diter la porte-parole de l’opposition en suggĂ©rant sa connivence avec IsraĂ«l et le lobby pro israĂ©lien de France. Une caution moderniste Ă  une alliance rĂ©trograde Universitaire Ă  l’expertise reconnue, Basma Kodmani a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un soutien de poids dans cette bataille de l’opinion avec le tĂ©moignage de l’universitaire amĂ©ricano palestinien Rachid Khalid, de l’éditeur franco syrien Farouk Mardam Bey, petit fils d’un chef du combat nationaliste syrien du temps du mandat français, l’ancien premier ministre Jamil Mardam Bey, et de Leila Chahid, ancien dĂ©lĂ©guĂ© de Palestine en France. Le trio a dĂ©noncĂ© la perversité» du procĂ©dĂ© dont l’objectif rĂ©pondait au souci de discrĂ©diter une vraie militante de la cause palestinienne».Auteure d’une thĂšse sur les rĂ©fugiĂ©s palestiniens, Basma Kodmani a collaborĂ© avec des personnalitĂ©s palestiniennes de premier plan, tel Faysal Husseini, Ă  des projets humanitaires et politiques. A son actif figurent notamment le projet de parrainage d’enfants des camps de rĂ©fugiĂ©s palestiniens avec de riches familles arabes de Palestine et d’ailleurs, de mĂȘme que plusieurs pĂ©titions de personnalitĂ©s occidentales en faveur des Palestiniens. Mais la propulsion au poste de porte-parole de l’opposition syrienne de cette chercheuse Ă  l’IFRI Institut Français de Relations Internationales, le fortin atlantiste de la pensĂ©e stratĂ©gique de la diplomatie française, de surcroĂźt ancienne directrice de la branche rĂ©gionale de la Ford Foundation au Caire, et auditrice assidue au Forum de Bilderberg, la plateforme dĂ©cisionnelle des cosmocrates de la trilatĂ©rale Etats-Unis, Europe, Japon a Ă©tĂ© perçue par des franges de l’opinion arabe comme une volontĂ© de confĂ©rer un halo de modernitĂ© Ă  une opposition largement dominĂ©e par les FrĂšres Musulmans». Un effet d’image destinĂ© Ă  gommer dans l’opinion le congrĂšs de juillet 2011, tenu Ă  Paris par les FrĂšres Musulmans, sous l’égide de Bernard Henry Levy, le plus en vue des intellectuels français pro-israĂ©liens, dĂ©sastreux pour la crĂ©dibilitĂ© de l’opposition syrienne. Une opĂ©ration de ravalement cosmĂ©tique Ă  une alliance rĂ©trograde, boudĂ©e d’ailleurs Ă  ce titre par d’authentiques rĂ©sistants de l’intĂ©rieur. Le rĂŽle d’un intellectuel progressiste L’empressement de l’universitaire franco syrien Bourhane Ghalioune Ă  obtenir l’adoubement du prĂ©dicateur islamique Youssef Al-Qaradawi a confirmĂ© cette hypothĂšse, en mĂȘme temps qu’elle discrĂ©ditait le nouveau chef nominal de l’opposition syrienne, en ce que sa renonciation Ă  sa posture laĂŻque antĂ©rieure a signĂ© la marque d’un renoncement. Sa prĂ©cipitation Ă  donner des gages au camp israĂ©lo-amĂ©ricain en annonçant la rupture du ravitaillement stratĂ©gique du Hezbollah libanais en cas de victoire, la marque d’un reniement, plongeant dans la consternation ses parrains par son amateurisme contre-productif et dĂ©couragĂ© bon nombre de ralliement Ă  sa cause. A son indĂ©pendance, la Syrie confiait la direction de son gouvernement Ă  une personnalitĂ© chrĂ©tienne, FarĂšs al-Khoury, indice de sa maturitĂ© politique et du dĂ©passement des clivages ethnico-religieux. Soixante ans plus tard, un intellectuel qui a forgĂ© sa rĂ©putation sur la critique des pratiques religieuses de son pays, fait acte d’allĂ©geance Ă  l’Islam atlantiste et pĂ©trolier, en gage de sa promotion politique, un signe indiscutable de rĂ©gression devoir d’un intellectuel progressiste est de faire conjuguer Islam et progressisme et non de provoquer l’abdication intellectuelle des progressistes devant un islamisme basique, invariablement placĂ© sous les fourches caudines israĂ©lo-amĂ©ricaines. Originaire de la ville de Homs, d’une famille pĂ©trie de dialectique marxiste, l’auteur du malaise arabe» aurait dĂ» se souvenir que ce malaise-lĂ  rĂ©sulte principalement de la dĂ©mission des Ă©lites et de leur embrigadement dans le rĂŽle de caution aux Ă©quipĂ©es impĂ©riales. Fille d’un diplomate syrien ayant Ă©margĂ© sur le budget de l’état syrien tout au long de sa carriĂšre, au parcours acadĂ©mique, sans ancrage sur le terrain, sans tradition de lutte, nullement rĂ©pertoriĂ©e dans les rangs de l’opposition historique au rĂ©gime baasiste, le parachutage de Basma Kodmani au poste stratĂ©gique de porte-parole de l’opposition a Ă©tĂ© perçu comme un passe-droit exorbitant, nullement justifiĂ© par son palmarĂšs oppositionnel, soulignant en filigrane la volontĂ© de la France de placer sous sa tutelle l’opposition syrienne de l’extĂ©rieur. Plaident en ce sens l’opposition du tandem Ă  une intervention publique Ă  Paris, avec la complicitĂ© du Quai d’Orsay, d’un des plus prestigieux opposants syriens, Ă  la lĂ©gitimitĂ© supĂ©rieure Ă  celle du duo, Michel Kilo, emprisonnĂ© Ă  deux reprises par Damas, de mĂȘme que le vĂ©to opposĂ© Ă  un rĂ©sistant authentique de l’intĂ©rieur, Georges Sabra, ancien prisonnier politique et dirigeant du Parti dĂ©mocratique de Syrie, Ă  briguer la tĂȘte de l’opposition syrienne. Au prĂ©texte de sa religion chrĂ©tienne ? De sa qualitĂ© d’homme de gauche? Des deux Ă  la fois?
Un signe d’ouverture?En contrechamp, le pitoyable dĂ©filĂ© d’opposants de la derniĂšre heure, bouffons Ă  l’expression alĂ©atoire, Ă  la pensĂ©e problĂ©matique, se vautrant sur les plateaux de tĂ©lĂ©vision pour le quart d’heure de cĂ©lĂ©britĂ© mĂ©diatique, a offert un spectacle affligeant d’opportunisme indigne de la qualitĂ© du combat des opposants de l’intĂ©rieur et du niveau intellectuel de la sociĂ©tĂ© civile syrienne. Ces trois faits ont posĂ© le problĂšme de la pertinence politique du tandem franco syrien et de leur mentor français et nourri le procĂšs de leurs ambitions en mĂȘme temps que de leur connivence avec l’ancienne puissance un duo qui se veut reprĂ©sentatif de la future Syrie libre, moderne, dĂ©mocratique et indĂ©pendante, son placement sous tutelle de l’ancien pouvoir colonial, un des grands soutiens aux dictateurs arabes dĂ©chus Egypte, Tunisie, artisan du dĂ©membrement de leur pays d’origine, la Syrie, au bĂ©nĂ©fice de la Turquie, par dĂ©tachement du district d’Alexandrette, et, maitre d’Ɠuvre du blocus de Gaza sous la mandature Sarkozy, pouvait difficilement se percevoir comme une marque de gĂ©nie politique, nonobstant les effets corrosifs de cette servilitĂ© sur la crĂ©dibilitĂ© du leadership de l’opposition. Sans charisme, sans relief, sans vĂ©ritable marge de manƓuvre, le noyau français au sein de l’opposition syrienne est apparu, neuf mois aprĂšs son lancement, comme tributaire de ses commanditaires, Ă  la merci de leur agenda diplomatique, oubliant ou feignant d’oublier que la stratĂ©gie occidentale de la derniĂšre dĂ©cennie a visĂ© Ă  sanctuariser IsraĂ«l et Ă  ostraciser l’Iran en vue de consacrer une mise sous tutelle durable du monde arabe Ă  l’hĂ©gĂ©monie stratĂšge, un comble pour une spĂ©cialiste des relations internationales, elle mĂ©sestimera la force d’obstruction de la Chine, de la Russie et de l’Inde, de mĂȘme que l’Afrique du sud, la moitiĂ© de l’humanitĂ©, infligeant le premier revers majeur Ă  la diplomatie occidentale depuis l’effondrement du bloc soviĂ©tique dans la dĂ©cennie 1990. Nicolas Sarkozy, le pivot europĂ©en de l’axe israĂ©lo-amĂ©ricain, Alain JuppĂ©, le ministre gaulliste nĂ©o atlantiste concĂ©dant arbitrairement et unilatĂ©ralement Ă  IsraĂ«l, en pleine bataille de Syrie, le droit de se dĂ©gager de ses obligations internationales concernant les territoires palestiniens de 1967, assurant de surcroit se ranger du cĂŽtĂ© d’IsraĂ«l en cas de guerre rĂ©gionale, la Turquie, l’autre manche de la tenaille qui Ă©trangle, avec IsraĂ«l, leur pays d’origine, l’Emir du Qatar, lartisan de la dĂ©sarticulation de la Libye et Youssef al Qardawi, l’ancienne bĂȘte noire de l’Occident reconverti dans l’honorabilitĂ© par le fait des royalties princiers 
on aurait rĂȘvĂ© meilleure caution morale Ă  une entreprise d’une telle ampleur, la transformation dĂ©mocratique de la Syrie, et, au-delĂ  du Monde aggravante, le prĂ©cĂ©dent gĂ©orgien de SalomĂ© Zoubachvili, binationale franco-gĂ©orgienne, nommĂ©e ministre des Affaires Ă©trangĂšres de GĂ©orgie aprĂšs avoir Ă©tĂ© ambassadeur de France, a pointĂ© la nature hybride du duo et jouĂ© en sa dĂ©faveur en ce qu’elle a posĂ© le problĂšme du bien-fondĂ© d’une dĂ©cision visant Ă  confier la direction de l’opposition syrienne Ă  des membres de la fonction publique française, c’est-Ă -dire Ă  des salariĂ©s de l’ancien pouvoir colonial. Pour rappel Ă  l’ordre, Ă  l’intention du lecteur arabophone, le code de conduite Ă©dictĂ© par Nasser Ă  l’égard des menĂ©es impĂ©rialistes Et pour le lecteur francophone le rĂ©sumĂ© suivantRĂ©pliquant Ă  une menace amĂ©ricaine de lui couper l’assistance financiĂšre, Nasser a proclame Les AmĂ©ricains menacent de nous affamer. Eh bien on mangera quatre jours sur sept, un jour sur deux, un repas sur deux. DĂ©plorable posture en comparaison du glorieux comportement de son lointain prĂ©dĂ©cesseur, Youssef Al Azmeh, ministre de la dĂ©fense, se portant Ă  la tĂȘte de ses armĂ©es pour mener personnellement bataille aux Français pour la dĂ©fense de la partie, Ă  la bataille de Maysaloune, acte fondateur du nationalisme syrien face au pouvoir colonial français. Une plus grande perspicacitĂ© aurait pu rĂ©duire les critiques Ă  leur Ă©gard. Trois personnalitĂ©s de l’opposition, Haitham al-Maleh, Kamal al-Labwani et Catherine al-Telli, ont d’ailleurs dĂ©missionnĂ© du Conseil en signe de protestation contre l’autoritarisme du duo et la lourde tutelle des bailleurs de fonds pĂ©tro monarchique. Gageons que si l’opposition syrienne de Paris avait Ă©tĂ© chapeautĂ©e par une personne de la stature du philosophe Sadeq Jalal Al Azm, une personnalitĂ© majeure de la pensĂ©e politique arabe contemporaine ou de Michel Kilo, voire mĂȘme de Ryad Al Turk, un vĂ©tĂ©ran de la lutte politique syrienne, la visibilitĂ© de l’opposition aurait Ă©tĂ© plus grande, l’adhĂ©sion plus importante, l’effet d’entrainement plus dynamique et la critique moins acerbe. Besoin des Juifs et d’IsraĂ«l Les mots ont un sens et ne constituent nullement une enfilade de paroles verbales pour la satisfaction narcissique d’une exposition mĂ©diatique. La participation d’un arabe Ă  un dĂ©bat avec des IsraĂ©liens est de pratique courante de nos jours. Mais la prĂ©sence de l’universitaire franco syrienne Ă  une manifestation Ă  la gloire d’IsraĂ«l, boycottĂ©e par les intellectuels palestiniens et arabes en signe de protestation contre les guerres de destructions israĂ©liennes au Liban Juillet 2006 et de Gaza 2008 a pu paraĂźtre choquante Ă  bien des Ă©gards en ce qu’elle bravait et les consignes de boycott et la solidaritĂ© militante, confĂ©rant une prime au bellicisme israĂ©lien Ă  Beyrouth et Ă  Gaza, en l’exonĂ©rant par sa en ce que ce salon du livre en l’honneur d’IsraĂ«l a Ă©tĂ© volontairement programmĂ© par Nicolas Sarkozy Ă  deux semaines d’élections municipales aux fins de lui servir de levier auprĂšs de l’électorat juif dans une consultation problĂ©matique, qu’il finira d’ailleurs par perdre par dĂ©magogie. Plus choquante aura Ă©tĂ© sinon la dĂ©sinvolture du moins la passivitĂ© en tout cas la maladresse de cette mĂšre d’enfants palestiniens devant les dolĂ©ances des intervenantes israĂ©liennes, exprimant leurs craintes pour la vie de leurs enfants en service dans l’armĂ©e israĂ©lienne, sans faire valoir, en rĂ©plique, les craintes identiques de mĂšres palestiniennes devant les ravages quasi quotidiens de l’aviation israĂ©lienne, non seulement contre les militaires mais Ă©galement contre les civils palestiniens rĂ©guliĂšrement fauchĂ©s, sans discrimination de sexe ou dĂąges, dans l’indiffĂ©rence quasi gĂ©nĂ©rale des pays occidentaux. Parmi les autres griefs formulĂ©s Ă  son encontre figure son besoin» de Juifs et d’IsraĂ«l qu’elle a exprimĂ© en guise de profession de foi pour favoriser la diversitĂ© culturelle au Moyen besoin» qui aurait pu trouver meilleur Ă©cho et accueil s’il s’était adressĂ© Ă  des pacifistes israĂ©liens, en guise d’encouragement Ă  leur combat, et non Ă  des membres de l’establishment d’un pays qui se vit comme la pointe avancĂ©e du Monde libre» face Ă  la barbarie arabo musulmane, dont le travail de sape permanent a pulvĂ©risĂ© la Palestine, la terre de ses propres enfants, sa population et jusque mĂȘme son identitĂ©, sans la moindre offre de prestation Ă  l’allure d’une reddition intellectuelle et morale Ă  l’imperium colonial. Une insulte Ă  la mĂ©moire de Rachel Corie, pacifiste amĂ©ricaine Ă©crasĂ©e par un bulldozer israĂ©lien dans son combat contre le dĂ©racinement des Palestiniens de Rafah, dans la Bande de Gaza. Une insulte au combat quotidien de prĂšs de quatre millions de Palestiniens empruntant l’humiliant parcours des 700 barrages israĂ©liens pour leur gagne-pain journalier
 et qui se seraient, trĂšs franchement, volontiers, passĂ©s de ce besoin» 2. La rĂ©plique de Doha Shams Doha Shams, sans dĂ©tours, sans ambages, sans le moindre mĂ©nagement pour son ancienne connaissance parisienne, en dĂ©duira que Basma Kodmani est une arabe de service» de la diplomatie française au service des intĂ©rĂȘts stratĂ©giques des Occidentaux. Dans une retentissante tribune publiĂ©e le 27 fĂ©vrier 2012 sur sa page Facebook dans le quotidien Al Akhbar», le journal influent des cercles intellectuels et progressistes arabes, la journaliste libanaise a dĂ©noncĂ© l’activisme belliqueux de Mme Kodmani, sa volontĂ© d’acter le Chapitre VII de la charte des Nations Unies autorisant l’usage de la force», dans tous les documents officiels de l’opposition, en vue de dĂ©blayer la voie Ă  une intervention occidentale en Syrie, sur le modĂšle divorcĂ©e du journaliste palestinien Nabil Darwiche, Basma Kodmani-Darwiche a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un accĂšs privilĂ©giĂ© au leadership palestinien de par ses travaux, certes, mais aussi et surtout de par sa situation matrimoniale en ce que son beau-frĂšre, un officier palestinien assassinĂ© Ă  Rome dans la dĂ©cennie 1980, appartenait Ă  la garde rapprochĂ©e de Yasser Arafat, le chef de l’Organisation de libĂ©ration de la Palestine OLP, lui confĂ©rant le privilĂšge statutaire de famille de martyr». Pour louable qu’elle ait pu ĂȘtre, au-delĂ  de la satisfaction d’un amour propre personnel, sa diplomatie pĂ©titionnaire a abouti Ă  dĂ©douaner Ă  bon compte les Ă©lites occidentales de l’écrasante responsabilitĂ© de leur pays dans le drame palestinien, tant du fait de la dĂ©claration Balfour 1917 que du fait du gĂ©nocide hitlĂ©rien que de la collaboration vichyste, sans pour autant faire progresser la paix, sans refreiner pour autant l’annexion rampante de la Palestine et la dĂ©perdition de sa population. A n’y prendre garde, la frĂ©quentation du monde Ă©thĂ©rĂ© des salons veloutĂ©s de la haute administration française et des forums internationaux peut exposer son auteur Ă  de sĂ©rieuses dĂ©convenues. A sa dĂ©connexion de la en est ainsi de son besoin» d’IsraĂ«l prĂ©citĂ©, que de ses murs Ă  abattre». Pour la crĂ©dibilitĂ© de son auteur, un tel projet supposerait qu’il ne se limite pas au mur de la peur psychologique entre IsraĂ©liens et Palestiniens, mais englober tous les autres murs, sans exception, aussi bien le mur d’apartheid sĂ©parant IsraĂ«l de la Cisjordanie, que le mur de la dictature militaire syrienne, tout comme le mur de la dictature religieuse pĂ©tro monarchique saoudienne, enfin, le mur de la dictature financiĂšre de l’oligarchie occidentale, les deux meilleurs alliĂ©s de la militante franco syrienne pro palestinienne. Le syndrome Ahmad Chalabi Une prĂ©sentation unilatĂ©rale des faits peut prĂȘter Ă  Ă©quivoque. S’il est vrai qu’ en Syrie la propagande est en vigueur Ă  longueur de commentaires», ainsi que le souligne Ă  juste titre Le Monde, en date du 24 fĂ©vrier 2012, il est non moins vrai que l’échafaudage mĂ©diatique occidental sophistiquĂ© s’apparente, par moments, Ă  une entreprise de manipulation de l’opinion. Le journal de rĂ©fĂ©rence de la presse française aurait ainsi Ă©tĂ© plus avisĂ© de mentionner en complĂ©ment de son information, les turpitudes du camp adverse, notamment les nombreuses interceptions de livraisons d’armes opĂ©rĂ©es au Liban dans les zones sous contrĂŽle du clan Hariri, la mise en place d’une plateforme opĂ©rationnelle de la DGST au nord Liban, au mĂ©pris du principe de la souverainetĂ© libanaise, ou encore la rĂ©union parallĂšle des barbouzards de l’Otan, en marge de la rĂ©union de la rĂ©union des amis de la Syrie» Ă  Tunis, le 28 fĂ©vrier dernier, en vue de fomenter un coup d’état Ă  Damas. Réédition d’un scĂ©nario Ă©culĂ©, le dispositif en vigueur Ă  l’encontre de la Syrie est identique Ă  celui mis en place Ă  propos de l’Irak, justifiant une fois de plus le constat de Pierre Bourdieu sur la circulation circulaire de l’information», tant au Qatar, Ă  travers Al Jazira, qu’en France, via le quotidien Ahmad Ibrahim Hilal, responsable de l’information sur la chaĂźne transfrontiĂšre qatariote, agit depuis les combats de Syrie, il y a un an, en couple et en boucle avec son propre frĂšre Anas Al Abda, proche du courant islamiste syrien et membre du CNT, au diapason du tandem parisien formĂ© par Basma Kodmani, porte-parole du CNT et sa sƓur Hala Kodmani, animatrice du cellule oppositionnelle syrienne Ă  Paris et chargĂ©e de la chronique Syrie au quotidien français LibĂ©ration dans une fĂącheuse confusion des genres 3. Cette proximitĂ© pose le problĂšme de la conformitĂ© dĂ©ontologique de l’attelage. AmplifiĂ© en France au niveau arabophone par Radio Orient, la radio du chef de l’opposition libanaise, Saad Hariri, partie prenante au conflit de Syrie, du jamais vu dans les annales de la communication internationale, ce dispositif frappe de caducitĂ© le discours mĂ©diatique occidental au mĂȘme titre que le discours officiel syrien, en ce qu’il est obĂ©rĂ© par le syndrome Ahmad Chalabi».Un Syndrome du nom de ce transfuge irakien qui avait alimentĂ© la presse amĂ©ricaine des informations fallacieuses sur l’arsenal irakien, via sa niĂšce journaliste en poste dans l’une des principautĂ©s du golfe, implosant la crĂ©dibilitĂ© de l’employeur de la journaliste vedette du New York Times, Judith Miller, passĂ©e Ă  la postĂ©ritĂ© comme Ă©tant l’arme de destruction massive de la crĂ©dibilitĂ© du New York Times dans la guerre d’Irak». Une dizaine de journalistes de premier plan ont dĂ©missionnĂ© d’ Al Jazira» en signe de protestation de sa couverture partiale» des Ă©vĂšnements de Libye et surtout de Syrie, emportant avec eux la crĂ©dibilitĂ© de la chaĂźne. Promue dĂ©sormais Ă  la fonction de lanceur d’alerte» de la stratĂ©gie occidentale Ă  lencontre du Monde arabe, Al Jazira a ainsi sinistrĂ©, en l’espace d’un semestre, sa rĂ©putation patiemment construite en quinze ans, et sabordĂ© du coup son monopole sur les ondes panarabes. Par le fait du prince» et de son maĂźtre 4. La bataille de Syrie est une bataille dĂ©cisive dont l’issue va dĂ©terminer la hiĂ©rarchie des puissances dans l’ordre rĂ©gional d’une large fraction du XXI me siĂšcle. Elle se doit de s’afficher comme un combat frontal des dĂ©mocrates contre les imposteurs et les falsificateurs pour la prĂ©servation des intĂ©rĂȘts fondamentaux du Monde arabe. Non un combat contre une dictature pour lui substituer une autocratie plus soft», plus sournoise, plus conforme aux intĂ©rĂȘts occidentaux. Non une gesticulation mortifĂšre d’une coalition hĂ©tĂ©roclite cimentant une alliance contre-nature de faux prophĂštes contre les aspirations profondes du Monde arabe. En un mot, une opĂ©ration de diversion dont l’objectif final n’est rien moins que l’enterrement en catimini de la Palestine
 sous couvert de libertĂ© et de XX me siĂšcle a Ă©tĂ© marquĂ© par l’implantation d’un foyer national juif» Ă  l’intersection des deux versants du Monde arabe, sa rive asiatique et sa rive africaine, rompant le continuum stratĂ©gique de l’ensemble arabe. Le XXI me siĂšcle voit poindre l’emprise israĂ©lienne sur la totalitĂ© du bassin historique de la Palestine et de son arriĂšre-plan stratĂ©gique, avec la complicitĂ© active des pĂ©tromonarchies, sans doute le directoire le plus rĂ©pressif et le plus rĂ©gressif de la planĂšte, l’ idiot utile» par excellence de la stratĂ©gie hĂ©gĂ©monique occidentale sur la zone arabo musulmane en ce qu’il se substitue aux pays occidentaux en crise systĂ©mique pour Ă©radiquer, Ă  ses frais avancĂ©s, sans contrepartie, toute volontĂ© de rĂ©sistance arabe. Le prĂ©cĂ©dent libyen devrait inciter Ă  la prudence au terme d’une sĂ©quence dans laquelle les Arabes auront Ă©tĂ©, dans l’allĂ©gresse, les mercenaires de leur propre perte. L’auteur de ces lignes a vĂ©cu le septembre noir jordanien 1970 et la guerre civile libanaise 1975-1992 pour mĂ©sestimer les ravages des guerres fratricides. Que le combat soit donc menĂ© dans la clartĂ©. Que l’action collective prenne le pas sur les stratĂ©gies personnelles de conquĂȘte du pouvoir, et que surtout, les bourreaux du passĂ© ne soient jamais les bienfaiteurs du futur encore moins leurs parrains. Blanche colombe ou vipĂšre lubrique ? Enfant du Bon Dieu ou canard sauvage ? Dindon de la farce ou paon gorgĂ© de vanitĂ©s? Avant-garde d’une escouade de combattants de la libertĂ© visant Ă  la transformation dĂ©mocratique du Monde arabe ou intrigante nourrie d’une ambition dĂ©mesurĂ©e? Tacticienne hors pair, Arabe de service» ou Idiot utile», pour reprendre la vieille terminologie marxiste toujours d’actualitĂ©? L’histoire, seule, dira ce que Basma Kodmani aura Ă©tĂ© en cette phase charniĂšre de l’histoire arabe. Les exactions des opposants syriens dĂ©noncĂ©es par l’organisation humanitaire amĂ©ricaine Human Right Watch», se superposant aux attentats de djihadistes erratiques d’Alep et de Damas, Ă  la mi-mars 2012, et Ă  ceux de Toulouse et de Montauban, Ă  la mĂȘme date, devraient refreiner les ardeurs belliqueuses des pays occidentaux et rĂ©duire du coup la voilure et la flamboyance de leurs poulains syriens. Solidement adossĂ©e au pouvoir sarkozyste en phase crĂ©pusculaire, particuliĂšrement Alain JuppĂ©, philosioniste nĂ©ophyte, Basma Kodmani, de par ses projections et connections, apparaĂźt toutefois, d’ores et dĂ©jĂ , comme un Ă©lĂ©ment du problĂšme et non de la solution. Mise Ă  jour 18 avril 2012 Le journal libanais Al Akhbar publie le 18 avril 2012 des extraits des Ă©changes Ă©lectroniques entre le duo français de l’opposition syrienne Bourhane Ghalioune Basma Kodmani avec l’administration amĂ©ricaine Pour le lecteur non arabophone Bourhane Ghalioune, chef de l’opposiiton syrienne de l’extĂ©rieur, considĂšre que le Lieutenant colonel Ryad Assaad, le chef de l’ArmĂ©e Libre de Syrie, basĂ© en Turquie, est un homme au comportement autoritariste et animĂ© de grandes ambitions et qu’il importe de mettre en place une direction collective pour le cadrer. Ghalioune assure en outre qu’il ignore le degrĂ© de coopĂ©ration et de rĂ©activitĂ© entre Ryad Al Assaad, le plus haut gradĂ© dissident de l’armĂ©e syrienne et les combattants de l’intĂ©rieur. Il recommande en outre de prendre en considĂ©ration le cas des dissidents syriens basĂ©s dans le Nord de l’Irak. Dans un message de FrĂ©dĂ©ric Hauff; en charge du Proche Orient au dĂ©partement d’état amĂ©ricain conseille au duo de prendre contact en Russie avec Mikail Margalov, l’émissaire spĂ©cial du PrĂ©sident Dimitri Medvedev qui serait, selon le diplmate amĂ©ricain, le diplomate russe leplus proche des thĂšses des amĂ©ricains et du groupe du 14 mars au Liban clan Hariri en ce qui concerne la Syrie ». Arabisant ayant longtemps vĂ©cu au Maghreb, n’appartient toutefois pas au circuit dĂ©cisionnel russe et nous ignorons dans quelle mesure ses promesses l’engagent, avertit l’amĂ©ricain au tandem Ghalioune Kodmani. RĂ©fĂ©rences1- Sadeq Jalal Al Azm, un personnage considĂ©rable de la pensĂ©e politique arabe contemporaine, est l’auteur de trois ouvrages qui ont fait date Nakd al Fikr ad Dini Critique de la pensĂ©e religieuse Edition Dar At-Tali’a» -Beyrouth, Nakd al Fikr Ba’ada al Hazima Critique de la pensĂ©e aprĂšs la dĂ©faire» de 1967 et Zihniyat At Tahrim La mentalitĂ© du tabou». Professeur de philosophie Ă  l’UniversitĂ© amĂ©ricaine de Beyrouth, il sera convoquĂ© Ă  Damas pour y ĂȘtre jugĂ© Ă  la suite de la publication de son premier ouvrage Critique de la pensĂ©e religieuse». Il sera relĂąchĂ© faute de preuves substantielles. Il sera par la suite professeur Ă  l’UniversitĂ© de Princeton Etats-Unis, dans la dĂ©cennie 1970, avant de revenir Ă  Damas pour y enseigner la philosophie europĂ©enne moderne et ses rapports avec l’Islam. Il est titulaire du Prix Erasmus, du Prix LĂ©opold Lucas de l’UniversitĂ© de TĂŒbingen section thĂ©ologie et Docteur Honoris Causa de l’universitĂ© de Hambourg. Ryad Al-Turk, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du parti communiste syrien, a fait plusieurs sĂ©jours en prison. C’est le doyen des opposants politiques A propos de Rachel Corrie, en guise piqure de rappel, cf la lettre des parents de la jeune fille Ă  l’occasion du neuviĂšme anniversaire de son collaboratrice du dĂ©lĂ©guĂ© de la Ligue arabe Ă  Paris, puis de l’Organisation de la Francophonie, responsable de la rĂ©daction arabe de France 24, Hala Kodmani anime depuis Mai 2011 une structure oppositionnelle Ă  Paris, l’association Sourya Houryia» Syrie LibertĂ©, poste qu’elle cumule avec ses fonctions journalistiques Ă  le lecteur arabophone, ci-joint le lien sur les manipulations d’Al Jazira Ă  propos de la couverture des Ă©vĂšnements de Syrie. Pour complĂ©ment d’information sur la problĂ©matique de l’opposition syrienne de l’extĂ©rieur Si vous avez trouvĂ© une coquille ou une typo, veuillez nous en informer en sĂ©lectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + EntrĂ©e . Cette fonctionnalitĂ© est disponible uniquement sur un ordinateur. Your access to this service has been limited. 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a qui la faute leila ad parole